L’analyse de l’activité d’un site Web, par Google Analytics (GA)


J’ai testé Google Analytics (GA), la solution (très) efficace pour disposer d’informations et de statistiques sur la fréquentation de son (votre) site Web/Blog.

Les étapes sont simples et rapides pour activer GA sur son site :

  • insertion de l’adresse Web du site à analyser, sur son compte GA (compte déjà existant pour ma part),
  • insertion de mon « tracking ID », issu de mon compte GA, sur mon site/blog internet.

Les possibilités de l’outil sont puissantes ! en voici quelques exemples et copies d’écran…

Tout d’abord, voici la page d’accueil :

Soyez indulgent, mon site est plutôt (très) récent, c’est le 1er article, de qui explique une audience plutôt pauvre.

Le nombre de visiteurs et son évolution, leur localisation géographique (approximative), les sources d’accès, la plage horaire de visite, les pages du site visitées, l’appareil utilisé (mobile, Pc etc.), voici des données qui permettent de mieux comprendre la fréquentation de son site/blog.

Google Analytics a bien évolué depuis ma dernière utilisation de l’outil, vers 2010, lorsque Google mettait à disposition un outil basique de statistiques de fréquentation.

Le détail de l’analyse des visites est assez évolué également :

Le principe est la « vue d’ensemble », puis, si l’on a besoin d’informations plus détaillées, les rubriques permettent d’y accéder.

Un autre menu important, c’est le « temps réel » ou la fréquentation du site/blog à l’instant t :

L’utilisation de Google Analytics, pour le modeste blogueur que je suis, est largement suffisante. L’utilisation avancée de Google Analytics permet au professionnels de disposer de statistiques adaptées à leur besoin, notamment avec le menu « conversion ».

Ce menu permet de fixer des objectifs, par exemple la durée de visite sur le site ou encore le nombre de pages visitées, l’inscription à une newsletter etc. Vous pouvez visiter à ce sujet cet article du site La Fabrique du Net.

Autre menu intéressant, « attribution », utilisant le machine learning (une forme d’intelligence artificielle), et en version Béta.

Pour comprendre cette fonctionnalité à visée professionnelle, vous pouvez visiter cette page.

Bref, Big Brother n’est pas très loin. A ce sujet, j’ai vu sur Arte un extrait du documentaire Tous surveillés – 7 milliards de suspects

Extrait du reportage

L’extrait se déroulait en Chine. De façon plus générale, comment concilier libertés individuelles et technologies informatiques ?

Mais ceci n’est qu’un aparté, Google Analytics n’en est pas là encore…

La Loi du Marché (2015, Stéphane Brizé)


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Après la distinction de Vincent Lindon à Cannes cette année avec son prix d’interprétation masculine pour ce film, je décide alors il y a une semaine déjà d’assister à la projection du film sans avoir vu la bande-annonce.

La Loi du Marché décrit le parcours d’un homme, avec sa femme et son enfant, en proie à la dure réalité du travail. Oui, il s’agit bien du marché du travail et à ses multiples embûches auxquels est confronté Vincent Lindon.

S’agit-il d’un film de société ? En visionnant le film, on peut répondre par l’affirmative.

Alors que plusieurs scènes montrent la solitude d’un homme, après la perte de son emploi, dans ce « marché », le film affiche parfois des moments plus « caricaturaux » mais tout aussi vrais, comme l’entretien avec l’employeur via Skype, ou plus touchants comme lors du cours de danse, l’aspect familial n’étant pas du moins délaissé.

Vincent Lindon, alias Thierry, lutte ainsi tout au long du film pour vaincre le chômage et s’en sortir et faire vivre sa famille.

Sans dévoiler le reste du film, la Loi du Marché retrace une triste réalité à laquelle beaucoup sont, ont été confrontés, et l’on ne peut pas ainsi rester indifférent.

Avec « Big Eyes », Tim Burton grossit le trait


J’ai vu dans un cinéma indépendant la semaine dernière « Big Eyes » dans sa version originale, le film de Tim Burton avec entre autres l’acteur européen Christoph Waltz que j’avais découvert dans « Inglourious Basterds » [2009, Quentin Tarantino].

Après un « Dark Shadows » en 2012 d’un tout autre genre, « Big Eyes » mêle à la fois le biopic, la comédie et le drame. Le film gravite donc autour d’un couple récemment marié dans l’Amérique des années 50-60, dont le mari s’appropie la paternité de tableaux peints par sa femme. La caricature est le maître mot du film, avec des personnages tout aussi expressifs que stéréotypés. Le jeu des personnages oppose le mari, dont la paranoïa subite et incertaine contraste avec l’effacement d’une mère souhaitant bien faire et  gravitant autour de sa fille vivant dans le secret.

Le film nous interroge aussi sur la place des femmes de cette époque, entre soumission et émancipation, dans un pays où le self-made-man est mis à mal puisque l’on devrait parler de self-made-woman.

Somme toute, le film n’est pas dans la logique des films précédents de Tim Burton. Il nous laisse là une oeuvre amusante à regarder avec des touches de kitsch et de vintage.

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Que penser de Interstellar ?


Interstellar, le dernier film de Christopher Nolan, est sorti il y a une semaine et a déjà réuni la barre du million de spectateur (source : Allocine.fr).

Lancé en France un an après Gravity, l’autre film de Science-Fiction se déroulant dans l’espace avec 4 millions d’entrées en France,  Interstellar part d’un constat impitoyable : la survie des hommes est menacée et un homme, oui un homme, peut (pourrait ? 😉 ) les sauver.

Sans tomber dans l’outrance et l’inutilité, les effets spéciaux cohabitent avec un scénario faisant part au suspens et questionnant le spectateur sur différentes thématiques : la survie, l’existence, la rupture, le devoir, la sciences, le progrès etc.

Interstellar dans la continuité des films précédents de Nolan fait état d’un sauveur potentiel (Batman [« The Dark Knight »], Leonardo Di Caprio dans « Inception » etc.) dans un pays, les U.S.A., dont la représentation dans Interstellar n’est pas idyllique et qui fait aussi penser à Gotham City dans « The Dark Knight Rises » (une ville en proie à la destruction aussi bien intérieure que réelle).

Sauf que là, il s’agit bien de la Terre dans un contexte de prise de conscience des Etats-Unis de l’écologie (Une vérité qui dérange [2006], Etats-Unis – Chine : un accord sur le climat vraiment « historique » ? etc.).

Bref, Interstellar est à mon humble avis et il ne s’agit que de mon opinion, un film réussi.

 

 Interstellar sur Allocine.fr

 Interstellar sur Sens Critique

On a vu “Interstellar”… – Cinéma – Télérama.fr

Interstellar (2014) – IMDb [en]

Bilan de l’année 2013… merci à tous les internautes-lecteurs de mon blog !


Les lutins statisticiens de WordPress.com ont préparé le rapport annuel 2013 de mon blog.

En voici un extrait :

Le Concert Hall de l’Opéra de Sydney peut contenir 2.700 personnes. Ce blog a été vu 10  000 fois en 2013. S’il était un concert à l’Opéra de Sydney, il faudrait environ 4 spectacles pour accueillir tout le monde.

Cliquez ici pour voir le rapport complet.

Bitstrips, l’appli qui fera de vous un avatar !


Bitstrips est une application que j’ai découverte cette nuit en surfant sur le net (oui, je surfe la nuit sur le net, je sais, c’est pas raisonnable, je devrais dormir !).

Somme toute, cette application vous permettra de créer un avatar à votre image ou à celle d’un ami (ou de toute autre personne).

Cette appli’ (soyons geek, disons appli) est disponible sur téléphone portable (pardons, « smaartphone ») et sur facebook. Son site internet officiel est :

http://www.bitstrips.com/ 

Donc, petite démonstration ci-dessous en images.

Le principe est simple : à partir d’une succession d’écrans et de choix à faire, vous créez un avatar : cheveux, corpulence, sourcils etc. A l’issue de cette création, vous pouvez faire évoluer votre avatar dans un décor puis créer des bandes-dessinées (pardon, des « comics ») !

Il s’agit d’un outil original avec lequel vous pourrez laisser libre court à votre imagination et créer des avatars, voire des poupées vaudous 😉 !

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J’ai visité… le « Computer History Museum »


J’ai toujours rêvé de créer chez moi un musée dédié à l’informatique : de mon 1er PC à 9 ans (dit « OrdiSavant ») à mon Amiga 600 à 12 ans(Commodore, un ordinateur « familial », opposé à l’ordinateur personnel ou « Personnal Computer »), puis mon PC 386 à 16 ans, mon PC NEC Intel 17 pouces  à 17 ans, mon PC portable Toshiba Intel Celeron à 22ans, mon PC Acer avec écran plat à 23 ans, mon ordi HP écran plat 23 pouces double coeur à 28 ans et enfin mon HP portable Intel Core I7 à 31 ans.

Bref, vous l'(m’)aurez compris, l’informatique a connu de profondes transformations en quelques décennies (La loi de Moore sur Wikipedia) qui méritent bien qu’un musée lui soit consacré.

Le musée en question a été créé en 1996 en Californie et dispose d’un site internet qui vous permettra de vous familiariser avec ce premier (et donc de le visiter ;-)), et ce en anglais.

Rendez-vous donc à cette adresse : http://www.computerhistory.org/

Bon surf !

« Alabama Monroe », une bonne surprise côté ciné’


Dimanche, par un beau temps, j’ai profité d’une salle obscure pour regarder Alabama Monroe qu’un ami m’a proposé d’aller voir. Ce film, dont je n’avais que très peu, voire pas du tout, entendu parlé, s’est révélé être une bonne surprise.

Les films, que l’on classe dans la catégorie « drame » (c’est assez réducteur de classer un film dans une catégorie, mais les sites dédiés au cinéma classent Alabama Monroe ainsi), je suis pas trop fan, mais pour une fois j’ai accroché.

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En effet, ce film mêle l’histoire d’un couple qui aura une petite fille, une bande originale originale (ah ah !), non sympa et des acteurs qui ne m’étaient pas connus.

Bref, j’en ai assez dit, et le mieux est de regarder la bande-annonce du film. Je vous invite aussi à ne pas lire les résumés de ce long-métrage, car, à mon sens, la bande-annonce suffit à se faire une idée du film et les résumés ont tendance à dévoiler l’intrigue.

Pour info, le film est réalisé par Felix Van Groeningen et a pour titre original (lui aussi, ah ah !) « The Broken Circle Breakdown ».

DuckDuckGo, le moteur de recherche qui ne vous piste pas !


duckduckgoDuckDuckGo, https://duckduckgo.com, est un moteur de recherche atypique, puisque, d’après son site officiel, il a pour objectif de ne pas vous pister sur la toile. En effet, un moteur de recherche grand public aura tendance à collecter des informations de recherche pour ensuite diffuser de la publicité, utiliser vos données, ou encore les revendre (http://donttrack.us). Au contraire, DuckDuckGo vous libèrera de ces contraintes puisqu’il utilise une politique de confidentialité et ne stockera aucune de vos données personnelles.

DuckDuckGo peut aussi être complété de goodies (des « gadgets ») et vous libérera de la « bulle filtrante » que constituent la plupart des moteurs de recherche (http://dontbubble.us).

Pour ne plus être traquer par votre navigateur internet infâme, tel Rambo I traqué par la police, vous pourrez utiliser des petits éléments adaptés à votre navigateur internet (http://fixtracking.com).

Vous aurez aussi la possibilité de configurer DuckDuckGo à cette page : https://duckduckgo.com/settings

Bref, vous ne trouverez que des avantages à utiliser ce type de moteur de recherche !

Article sur DuckDuckGo, DailyMail (en),

Courrier International (fr)

Sécurité internet, petit Guide de survie


Internet est un réseau informatique mondial (dixit Wikipedia.fr) mais saviez-vous que vous laissiez des traces sans le savoir ? Vous répondrez sûrement par l’affirmative à cette question…

Pour vous le prouver, tentons (ou tentez plutôt) une petite expérience : rendez-vous à cette adresse http://www.cnil.fr/vos-droits/vos-traces/experience/ de la Commission Nationale Informatique et Libertés et laissez-vous guider par les différentes étapes.

Qu’en ressort-il ? Et bien, par une simple navigation (internet), il est possible de récupérer des données inhérentes à votre ordinateur ou encore à cette même navigation. Donc, pour reprendre les conclusions de l’expérience en question (tel un rat de laboratoire que vous êtes), ces données sont « lisibles » :

  • adresse IP, nom d’hôte et localisation (géolocalisation),
  • système d’exploitation, navigateur internet utilisé, résolution de votre écran, sites internet visités,
  • insertion de cookie (le petit fichier informatique, non le biscuit) sur votre ordinateur, et malgré la suppression du cookie, récupération des infos du cookie par le logiciel flash de votre ordinateur
  • conservation et utilisation des infos entrées dans votre moteur de recherche,
  • exploitation de ces mêmes recherches par des régies publicitaires

D’autres menaces informatiques existent également : virus informatique, vers, zombies, troyens etc.

Pour se protéger, les réflexes de base sont d’adopter un anti-virus et un fire-wall (comprenez « pare-feu », prononcez « failleur-ouaul »).

Il existe des antivirus basiques, gratuits ou payants, et parmi ces derniers des suites de sécurité intégrant toute une panoplie de protections.

Le « failleur-ouaul » ou pare-feu, s’insère en quelque sorte entre vous (l’ordinateur) et le réseau extérieur, pour filtrer, en fonction de règles, le trafic.

D’autres logiciels spécifiques existent également pour « détruire » les données de son ordinateur.

Bon, à la lecture de cet article, ne tombez pas dans la parano et ne jetez pas votre ordinateur par la fenêtre pour être sûr de détruire vos données personnelles, cela ne sert à rien. Préférez des réflexes simples par l’adoption de logiciels cités dans cet article ou encore de comportements ne compromettant pas l’intégrité de votre ordinateur.

Et pour compléter pertinemment l’article, un peu comme dans les films de Walt Disney, vos pouvez lire des livres simples sur la sécurité internet (par exemple Edition Dunod, collection « Comment Ca marche ») (ouahhh… quelle belle fin…).

Merci !


Un grand merci à tous les lecteurs de mon blog puisque la barre des 12 600 visiteurs a été franchie aujourd’hui. Une particularité de ce blog (francophone) réside dans le lieu géographique des visiteurs que vous êtes : pas moins de 60 pays sont représentés comme en témoignent les statistiques issues de WordPress et disponibles à partir du 25 février 2012.

Merci également pour vos commentaires (soumis à modération) qui permettent de faire évoluer le blog, qui, d’un blog dédié à l’informatique, pratique une ouverture sur des sujets plus légers que sont le cinéma, les livres, bref la culture !

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7ème art ou les salles obscures


Voici un article dédié à l’une de mes passions, le cinéma. Sans pour autant voir le dernier film au cinéma que de le regarder en DVD, Blu-Ray ou à la télé, voici une sélection de réalisateurs que j’apprécie particulièrement, présentés sans ordre de préférence (faisons original).

Stanley Kubrick

Alors que le dernier film de Stanley Kubrick, sorti à titre posthume, rencontrait une critique toute relative, ce n’est pas sans revenir sur toute sa filmographie et retrouver aussi ses 1ers films (Le baiser du tueur, l’Ultime Razzia) voire son film censuré à l’époque de sa sortie, les Sentiers de la Gloire. L’oeuvre cinématographique du réalisateur, très doué pour la photographie, ramène un film d’anticipation (2001 L’Odyssée de l’Espace), un film adapté d’un roman de Stephen King (Shining) ou encore le film controversé « Lolita ».

Bref, voici 2 bandes-annonces (des films de ma génération, le maître ne sortant des films qu’au compte-goutte) :

Full Metal Jacket (1987), pas un de mes films préférés…

Eyes Wide Shut (1999)

Luc Besson

Luic Besson a lui aussi une filmographie bien remplie et rassemble aussi des films différents dans leur composition avec un acteur fétiche, Jean Reno ; on peut citer Le Grand Bleu (avec sa version longue, histoire de retenir sa respiration jusqu’à la fin), Nikita (une junkie recrutée par le gouvernement français pour accomplir des missions douteuses), Léon (l’histoire d’un tueur à gage [non, un nettoyeur] qui recueille sous son aile une petite fille dont la famille a été tuée), Le 5ème élément, sans oublier un de ses 1ers films, Le dernier combat.

Le Grand Bleu (1988)

Nikita (1990)

Léon (1994)

Bon, le but de cet article n’est pas de faire la critique de films mais plutôt de (re)découvrir des films qui ont pu marqué les esprits. Il ne s’agit pas de présenter dans une vision élitiste certains réalisateurs puisqu’avec le 7ème art, y’en a pour tous les goûts ! Alors vive le cinéma !

Parce que y’en a marre !


Ceci est un mouvement d’humeur parce que y’en a marre de ce temps de novembre en juin ; voici des ressources internet que je vais partager avec vous, et qui pourront (au conditionnel)  vous intéresser (enfin je l’espère)…

Informatique (et Linux « of course ») :

Une mine d’informations sur le système d’exploitation dont la mascotte est un pingouin, réside dans unixgarden (www.unixgarden.com) le site éditorial des éditions Diamond, à l’origine de publications de magazines dédiés aussi aux logiciels libres, à la sécurité informatique, à l’informatique embarquée entre autres.

Vous trouverez ainsi sur ce site internet des articles parus dans tous les magazines (Linux Magazine, Linux Pratique, OpenSilicium, MISC etc.) de l’édition. C’est une véritable mine d’information d’articles sur l’informatique, bref, je recommande !

Autre site internet, developpez.com, « le club des développeurs », où vous trouverez (pêle-mêle) : des tutoriels, des forums, des présentations de livres etc. Autre atout, la newsletter régulière vous permet de rester informé.

Europe (et oui, c’est un sujet comme les autres)

Pour re(découvrir) le fonctionnement de l’U.E. (Union Européenne), la construction européenne, le citoyen européen qui sommeille en vous et qui n’appelle qu’à se réveiller, et bien voici une sélection de sites internet :

europa.eu : LE site Web officiel de l’U.E.

EuBookshop  : toutes les publications de l’U.E. sont disponibles sur ce site, dans différentes langues, en téléchargement, en commande papier gratuite ou payante, peremettra d’assouvir votre soif de curiosité !

Cinéma (les salles obscures, sauf qu’il y a une lumière « Sortie de secours ») :

L’Internet Movie DateBase, une énorme base de données sur le cinéma en particulier. Seul bémol, le site est en anglais.

Cinemovies, site consacré entre autres au cinéma. Il ressemble aussi à AlloCiné.

Site d’informations généralistes (pour être 1er sur l’info)

Je parlerai évidemment du site lemonde.fr qui est la vitrine internet du quotidien. Je rajouterai aussi lexpress.fr ou encore le site internet de la BBC (in english in the text) pour avoir une idée de la vision de l’information par nos voisins outre-manche.

Conclusion

Bon, en guise de conclusion, internet n’est plus l’internet que j’ai connu il y a 15 ans. Plus de sites internet (et donc d’adresses IP), plus de ressources disponibles pour l’internaute en mal de connaissances fortes, mais aussi plus de médias avec notamment les podcasts.

Ce bref aperçu de sites internet n’est bien évidemment pas exhaustif (je m’appelle pas Google) mais vous donnera peut être envie de surfer.

Après tout, un blog n’est-il pas là pour partager ses points de vue, ses coups de gueule, mais aussi la connaissance, tout en n’oubliant pas que Internet, et je le pense, est avant tout un média et donc un support de transmission de l’information (ouah…, quelle belle conclusion, comme avec les films de Walt Disney).

Géopolitique (1ère partie)


Non, je ne suis pas un spécialiste de la Géopolitique mais je souhaitais tout de même présenter deux personnalités majeures en ce domaine en France, j’ai nommé Alexandre Adler et Pascal Boniface (ce dernier dans un prochain article).

Alexandre Adler

Adler

Bio(graphie) :

– Né le 23/09/1950, à Paris.

– Ancien élève de l’Ecole Normale Supérieure, rue d’Ulm.

– Agrégé d’Histoire.

– Spécialiste de l’Union Soviétique et de l’Europe de l’Est.

– Chroniqueur Radio (RTL, Europe 1 etc.).

– Présentateur des « Mercredis de l’Histoire » sur Arte (jusqu’en 2003).

– Auteur de nombreux ouvrages (cf. bibliographie ci-dessous).

Portrait par l’OJIM (Observatoire des Journalistes et de l’Information Médiatique)

Alexandre Adler par Evene.fr

Bibliographie (non exhaustive) :

Le Monde AncienJ’ai vu finir le monde ancien (2002)

 » Oui, ce fut bien une Apocalypse, au sens originaire de l’expression, une révélation de notre monde, que ce terrible spectacle du 11 septembre 2001. Mais comme toutes les révélations antérieures, la lumière qui s’en dégagea était bien trop crue, dans un premier temps, pour nous livrer autre chose qu’elle-même… La pénombre qui s’abattit sur Manhattan s’est aujourd’hui dissipée. L’émotion s’est estompée, comme les images d’un Wall Street dominateur soudain réduit en cendres. Mais sommes-nous plus lucides pour autant ? Les mois ont passé, et il faut maintenant essayer de penser ce nouveau monde. J’ai mêlé ici les intuitions et la connaissance. Le temps de l’hypothèse et le temps de l’Histoire. Je veux donner une boussole à ceux qui savent que la planète ne s’arrête pas aux frontières de l’Hexagone, ni aux étroits parapets de la vieille Europe.  » A. Adler

« Le monde ancien, c’est celui d’avant le 11 septembre 2001. Alexandre Adler analyse l’événement et ses conséquences comme Monde Ancien Plurielouvrant une nouvelle étape dans les relations internationales, mais aussi dans les choix politiques des principales nations, dans leurs assises sociales, et dans les représentations de chacun d’entre nous. La triple révélation du 11 septembre, de la vulnérabilité des Etats-Unis, de l’émergence d’une irrationalité politique radicale, et d’une irruption de conflits culturels ou civilisationnels dans la sphère des relations interétatiques vient en effet brouiller le jeu et nous oblige à de nouvelles synthèses.
Ce livre étudie les racines profondes du terrorisme international, ses effets prévisibles et les stratégies souhaitables dans ce contexte » (Présentation de l’éditeur)

 

 

 

L'Odyssée AméricaineL’odyssée américaine (2004)

« Centré sur l’analyse des évolutions récentes des États-Unis, ce livre propose, à l’habitude de l’auteur, un parcours échevelé qui va de l’histoire à la géopolitique. Il met en perspective les transformations du monde depuis la fin de la guerre froide, expliquant le nouveau rôle que l’Amérique est amenée à y jouer, tout en soulignant les évolutions de la culture politique américaine. C’est ainsi qu’il passe en revue les paradoxes de cette Amérique, sans céder à l’illusion simplificatrice : isolationniste mais aussi interventionniste, libérale mais nationaliste dans sa politique économique, démocratique dans ses mœurs et sa Constitution mais tentée par le néoconservatisme. Un remède utile à l’anti-américanisme sommaire.

Avec ce nouvel essai, Alexandre Adler nous offre son histoire du monde moderne. J’ai vu finir le monde ancien s’achevait à proximité de « la plaine d’Armaggedon » – autrement dit le Proche-Orient légendaire. L’odyssée américaine s’ouvre, symboliquement, à Washington.
L’auteur estime en effet que nous sommes au commencement du « quatrième cycle » américain. Le premier courait de 1788 à la guerre de Sécession – naissance des Etats-Unis d’Amérique, prophétisés par Bacon comme la nouvelle Atlantide. Le deuxième de 1865 à 1932 – de la réconciliation des Etats à la domination économique mondiale, incarnée par la Ford T et le gold-exchange standard. Le troisième de 1932 à 2004 – qui est l’Iliade américaine : la poursuite des ennemis hors des terres, de l’Allemagne nazie aux fous d’Allah, en passant les dictatures communistes.
Tel un Odyssée Amércaine PlurielUlysse, qui rentre dans son pays après avoir livré bataille aux peuples du monde, George W. Bush clôt en 2004 le troisième cycle américain. Fort d’avoir combattu le Mal, sur les hauts plateaux afghans, dans les plaines irakiennes, sur tous les points du globe où plane l’ombre de Ben Laden, de l’Indonésie au Maroc, de Birmingham à Francfort, le président américain s’invente un nouveau leitmotiv, loin du « America is back ! » reaganien : le « Back to America ». La mère-patrie n’est donc plus seulement la façade blessée du skyline new-yorkais, mais un vaste patchwork : le Capitole, les tourbes du Mississippi, les Cold mountains, le Texas des derricks…
Contre le discours commun, Alexandre Adler affirme que les Etats-Unis ne constituent pas un empire. Et surtout, qu’ils ne veulent pas l’être. Seul le 11 septembre les a décidés à partir à la conquête du monde, avec ou sans l’ONU. Retraçant ces trois cycles de 72 ans chacun, l’auteur s’attache à décrire les bouleversements tectoniques de la planète. Il applique ici sa méthode coutumière : ne s’interdire aucun rapprochement géographique, historique, artistique, procéder par « sauts et gambades ». Bref, être à chaque instant, un « observateur engagé et perplexe », qui nous laisse épuisés mais conquis. »

 » J’ai choisi d’observer le monde depuis l’Amérique légendaire. Que New York blessée soit Rome ou Athènes importe peu : depuis le 11 septembre, c’est le cœur sismique du grand corps planétaire. Ce point de vue me permet, je crois, de franchir « l’obstacle du bien connu « , et d’analyser l’éruption de l’absolument nouveau. Car l’Amérique change à une vitesse inouïe : elle était une solution, elle devient un problème. Plus qu’un « empire involontaire « , elle est aujourd’hui une île
prométhéenne qui se cherche des alliés et une stratégie. Si le monde en fusion qui l’entoure la menace, il la façonne également. Dans ces pages, nous parcourons donc ce « nouveau nouveau monde »: depuis le Capitole et les tourbes du Mississippi jusqu’à la plaine d’Armageddon, depuis le Texas des derricks jusqu’aux hauts plateaux afghans. Nous sommes dans une quête tout autant que dans une entreprise d’élucidation. Je vois naître un nouveau califat sunnite ; un espace bolivarien ; une Chine majestueuse ; une Turquie partagée ; un bloc chiite – et une Amérique dont la géographie se redessine. Je vois poindre de grands dangers, mais aussi de fortes promesses. Cet essai s’applique à suivre les paroles de l’Apocalypse, pour les conjurer : regarde longtemps les abîmes.  » Alexandre Adler

 

Le Monde...qui joueLe monde est un enfant qui joue (2009)

«Le monde est un enfant qui joue. J’emprunte cette phrase à Héraclite. Le monde est innocent et naïf. Il titube, hésite, frappe, détruit. Il oublie sa propre histoire. Mais chacun de ses gestes est aussi une création et un apprentissage. Les années de violence n’ont pas empêché une croissance économique mondiale exceptionnelle. L’apaisement revient, alors que l’économie s’effondre. La crise sans précédent que nous traversons jouera son rôle : la purge marquera une mutation systémique et sera aussi une opportunité géostratégique.
Pour l’instant, Ben Laden n’a pas gagné, mais des éléments nucléaires, bactériologiques et chimiques circulent dans les zones les plus dangereuses de la planète. Examinant donc comme un joueur d’échecs la situation de nos grandes lignes de fracture. » Alexandre Adler

Le Monde...qui joue Pluriel« Prolongeant les réflexions de ses précédents essais, Alexandre Adler propose ici une analyse des principaux défis géopolitiques auxquels est confronté le monde contemporain. Bien entendu, la stratégie d’al-Quaïda et la situation du Moyen-Orient sont au cœur de son essai.
Si la tentative d’al-Quaïda, après le 11-Septembre, d’enrôler l’ensemble du monde islamique dans une guerre sainte contre l’Occident semble définitivement compromise, plusieurs hypothèses restent plausibles, selon les rapports de force qui s’instaureront dans le monde arabo-musulman : une alliance entre les radicaux d’al-Quaïda et l’Iran chiite, que préfigure le rapprochement du Hamas palestinien et du Hezbollah libanais surmontant les préjugés religieux, ou au contraire une reprise en main par les milieux conservateurs sunnites des bailleurs de fonds du Golfe, sans exclure l’hypothèse d’une évolution turque de l’islamisme ?
La stratégie des États-Unis et celle de l’Union européenne seront aussi décisives dans cette évolution. Empruntant son titre à une phrase d’Héraclite, Alexandre Adler insiste sur le caractère incertain de la conjoncture présente, qui peut voir se réaliser l’un ou l’autre de ces scénarios. »

Berlin 1989Berlin 9 novembre 1989 : la chute (2009)

« 20 ans après la chute du Mur, le spécialiste des relations internationales Alexandre Adler nous révèle les raisons souterraines de l’effondrement du monde soviétique

Il y a vingt ans, le mur de Berlin tombait et notre monde, partagé depuis un demi-siècle entre un Est et un Ouest irréconciliables, basculait.
Nul n’aurait cru possible ce qui s’est passé en ce 9 novembre 1989 où le Mur, symbole de la guerre froide, s’est effondré sans faire la moindre victime. Et pourtant, cette étrange révolution trouve ses origines dans le début de la guerre froide. Déjà en 1952, Staline, inspiré par le chef des services de renseignements soviétiques Beria, adresse une note au chancelier Adenauer lui proposant de négocier une réunification de l’Allemagne. Ce plan vise essentiellement à normaliser les rapports avec le bloc ouest pour renforcer la domination de l’empire à l’Est. Dans les années 1980, quand l’Union soviétique commence à montrer ses premiers signes de faiblesse, Andropov, le nouveau secrétaire général du PCUS et ancien président du KGB, reconsidère ce très secret «plan Beria» afin de sauver l’empire soviétique.
Mais, au milieu de l’exécution de ce plan de «redressement impérial», les dirigeants soviétiques sont dépassés par leur propre complot, submergés par les forces qu’ils ont eux-mêmes activées, jusqu’à l’accélération brutale due notamment à la crise économique généralisée qui provoque la brèche de novembre 1989. Le Mur tombé, l’onde de choc de Berlin-Est se propage, tout s’emballe et se défait jusqu’en août 1991, où le bloc soviétique tout entier éclate, et où le monde change à jamais… »

Ressources Internet :

Podcasts de « Le Monde selon Adler », diffusés sur Europe1.fr

Alexandre Adler : archives de l’INA

Alexandre Adler sur la Fnac.com