Linux Mint, la (re)découverte


le bureau de Linux Mint (plutôt le mien) après l’installation

Afin de relancer mon utilisation de Linux, j’ai opté pour Linux Mint qui est une variante de Ubuntu, cette dernière étant basée sur Debian.

L’installation de Linux Mint a été rapide, environ 30 minutes. J’ai alors lancé sur mon tout nouveau système la logithèque.

Instants de nostalgie, j’ai retrouvé Google Earth. Même si le produit de Google est disponible via un navigateur internet, j’ai tout de même lancé l’application.

Google Eart sur le net
La planète bleue depuis chez moi par l’application Google Earth (un peu comme Thomas Pesquet depuis l’ISS 🙃) !

Et pour ajouter un peu plus de fun à mon écran d’accueil qu’est mon bureau, j’ai modifié l’arrière-plan de celui-ci en piochant dans les images disponibles.

c’est beau 😎 !

Une autre surprise de la logithèque, c’est Visual Studio Code, dont j’avais vaguement entendu parlé arriver sur Linux, ce devait être au mois de juin de cette année 2023.

Voici quelques images du nouveau système (révolutionnaire, non ?)

un terminal ouvert sur le bureau
le navigateur de fichiers
le menu principal de Linux Mint

J’espère dans le futur (proche) tester sur Linux Mint de nouvelles découvertes qui pourront (un jour ?) être publiées sur mon blog (quel suspens… 🙂 ) .

Post-Scriptum PS : l’intelligence artificielle s’est invitée sur WordPress avec la génération de commentaires sur le ton de l’article, lors de sa pré-publication… Mais c’est vérifié, ce n’est pas une machine qui a écrit cet article !

Linux Mint 16 « Petra », vous avez dit Linux ?


Après un article sur un retour d’expérience concernant l »installation de notre (mon) système d’exploitation favori (Installation d’Ubuntu 13.10 en mode UEFI – Retour d’expérience) aux cotés d’un autre système, et ce en s’accommodant  de la technologie UEFI-EFI, voici donc un nouvel article portant sur Linux.

Et oui, je reprends un peu de mon temps pour me consacrer à faire vivre la rubrique Linux de mon blog et vous faire (re)découvrir le système d’exploitation au pingouin.

Je tiens à vous rassurer : le système Linux installé sur mon ordinateur portable fonctionne toujours et je ne vois pas de raison pour laquelle il ne fonctionnerait pas…

La distribution Linux Mint a pour devise, ou slogan, « from freedom came elegance« , que je traduis laborieusement par « de la liberté vint l’élégance ». Effectivement, la finition graphique de la distribution est aboutie comme en témoigne les différents environnements de bureaux qui accompagnent la distribution. Linux Mint est en effet disponible avec les environnements de bureaux KDE (un « classique »), MATE (continuité de l’environnement GNOME 2), Cinnamon etc.

Linux Mint est une distribution dérivée de la distribution Ubuntu. Mais, assez parlé, voici en images la distribution présentée avec le bureau MATE et le bureau Cinnamon… Pour info, j’ai virtualisé un ordinateur sur lequel je fais fonctionner Linux Mint :

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Installation d’Ubuntu 13.10 en mode UEFI – Retour d’expérience


Ca y est, enfin ! Avec l’acquisition d’un nouvel ordinateur portable et le système d’exploitation Fenêtres 8 (tentative de traduction laborieuse, je dois dire, d’un Operating System [OS] ou Système d’Exploitation) pré-installé dessus, se posait la question de l’installation de Linux, le système d’exploitation dont la mascotte est un pingouin (dit Tux).

En effet, depuis l’arrivée de Fenêtres 8, le BIOS a été remplacé par l’UEFI. Derrière ces termes qui peuvent paraître barbares, se cache en réalité 2 pierres angulaires de votre ordinateur préféré.

Pour les définitions du BIOS et de l’UEFI, je vous renvoie au site « CommentCaMarche.net », l’objectif de l’article étant de détailler plutôt les problématiques de l’installation de Linux sur un PC portable équipé de l’UEFI.

Revenons à nos moutons… L’UEFI a pour objectif affiché de sécuriser votre PC au détriment d’OS différents. En effet, à la sortie de l’UEFI, l’inquiétude envahit la communauté Linux pour l’installation de celui-ci en dual boot (comprenez en choisissant Linux ou Fenêtres 8 au démarrage du PC).

Mais c’est sans compter sur la persévérance de la communauté linux car la Fondation Linux lance, début 2013, un bootloader ou chargeur au démarrage qui permettra à des distributions indépendantes de venir s’installer auprès de Fenêtres 8 (article du Monde Informatique 12/02/2013).

Déjà, des distributions avaient anticipé le bin’s que pouvait engendrer l’arrivée de l’UEFI. Ce bin’s est détourné par la distribution Suse mi 2012 avec l’annonce d’une parade (SUSE and Secure Boot: The Details) , ou par Fedora (Guide UEFI Secure Boot).

Mon choix s’orientant vers la distribution Ubuntu, je décide alors de l’installer en dual-boot, aux côtés de Fenêtres 8. Pour cela, nul besoin de désactiver le Secure Boot, bien au contraire, l’installation d’Ubuntu 13.10 a été effectuée en mode UEFI (Ordinateurs avec UEFI).

Pour résumer, voici les différentes étapes qui m’ont guidées :

– gravage de l’image de la distribution,

– accès à UEFI via la touche F10,

– désactivation du Secure Boot (démarrage sécurisé) et activation de la « maintenance »

– ordre de priorité  du démarrage sur le lecteur de CD-Rom pour les 2 modes (mode UEFI et mode « Maintenance »).

– Sauvegarde puis redémarrage du PC avec le CD-ROM

– Appui sur la touche F9 qui permet de sélectionner son démarrage ; s’ensuit alors plusieurs options dont « CD-ROM en mode UEFI »  (qu’il faut sélectionner).

– Ensuite, installation classique : redimensionnement de la partition Windows etc.

Par contre, une fois l’installation terminée, il faut démarrer le PC et appuyer sur la touche F9 pour accéder au menu et sélectionner ensuite « Ubuntu » pour accéder à GRUB. Notons que la partition de restauration de Fenêtres 8 a été conservée.

ATTENTION : référez-vous à cet article qui détaille très bien l’installation d’Ubuntu en mode EFI.

Cette installation s’est effectuée sur un PC Portable Notebook Hewlett-Packard HP de la gamme ENVY DV7.

Restent à configuer le « Beats Audio » et la 2ème carte graphique NVIDIA installée sur le PC.

Petite revue d’Ubuntu 12.10 « The Quantal Quetzal », disponible depuis le 18 octobre 2012


Aujourd’hui, c’est mon anniversaire ! Et pour mes 31 ans, je me suis offert une mise à jour de mon système Linux Ubuntu 12.04 vers 12.10. Ce cadeau, que je me suis fait, est pour ainsi dire gratuit puisque les distributions Linux sont libres et gratuites !

Assez parlé, faisons donc une petite revue des nouveautés issues de la sortie de cette nouvelle version…

Les  principales nouveautés d’Ubuntu 12.10, sont :

  • l’intégration d’application Web (les « web apps ») cliquez ici,
  • l’intégration de comptes en lignes (tels Facebook et Google),
  • la prévisualisation du contenu dans le tableau de bord via le clic-droit du « dash », le tableau de bord d’Unity (l’interface utilisateur d’Ubuntu),
  • un cryptage de la partition d’Ubuntu rendu plus facile,
  • l’unification d’Unity abvec la disparition d’Unity 2D au profit d’Unity 3D,
  • le support du « secure boot » introduit par la nouvelle version de Windows (Windows 8),
  • les dernières mises à jour de vos logiciels favoris.

Cette version sera, au contraire de la précédente, maintenue pour seulement 18 mois.

Les nouveautés de Ubuntu 12.10 (LinuxFr.org)

8 New Features in Ubuntu 12.10, Quantal Quetzal (en)

La Documentation Ubuntu (fr)

Mise à jour d’Ubuntu 12.04 à 12.10 (en)

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Emmabuntüs, la distribution Linux basée sur Ubuntu pour le reconditionnement de vieux ordinateurs


Ca y est ! Le mauvais temps fait son retour. Il est donc temps de rester au chaud et de s’attaquer à de nouveaux articles. J’ai choisi aujourd’hui de vous présenter « Emmabuntüs »…

Emmabuntüs est née d’un projet dont le but est de reconditionner de vieux ordinateurs et donc de les équiper d’un système d’exploitation adapté afin de fournir ces ordinateurs aux plus démunis.

Emmabuntüs est le résultat de « la rencontre entre l’humanitaire et le libre » cliquez ici. Le choix de Linux a donc été fait et plus particulièrement d’Ubuntu à travers notamment de Xubuntu qui utilise Xfce, l’environnement de bureau léger.

J’ai testé Emmabuntüs 2 avec VirtualBox, et ce avec une machine virtuelle disposant de peu de ressources. La distribution vous offre la possibilité d’utiliser un « dock », comme le système d’exploitation Mac OS, c’est -à-dire d’un lanceur/menu situé en bas du bureau pour accéder aux  applications. Emmabuntüs 2 intègre aussi des applications non libres telles que Skype qui complètent les applications libres.

Le projet a donner naissance également à des variantes basées sur des variantes d’Ubuntu :

  • Lemmabuntüs Equitable : basée sur Lubuntu,
  • Ocarinabuntüs :  développée en collaboration avec la Société d’Histoire Saint-George & Dalayrac, pour la recherche et l’enseignement en sciences humaines et sociales, les sociétés savantes en sciences humaines et sociales et d’autres associations

Vous pouvez tester Emmabuntüs avant de l’installer mais vous conviendrez vite que la distribution est aboutie et que vous pourrez donnez une seconde vie à vos vieilles bécanes !

Wiki sur la mise en oeuvre des Distributions Emmabuntüs (fr)

L’environnement de bureau Xfce (en)

Archive du blog : Xubuntu, Linux for human beings

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Virtualisation d’OpenBSD avec Qemu


Version d’OpenBSD utilisée : 5.2 (bêta)

Version de Qemu utilisée : 1.0

Système d’exploitation hôte : Ubuntu 12.04 LTS « The Precise Pangolin »

Lorsque vous pensez virtualisation, vous pensez forcément à Virtualbox et à toutes ses interfaces graphiques vous permettant de configurer votre machine virtuelle.

Une toute autre solution de virtualisation non moins intéressante réside dans Qemu. Alors que Virtualbox est dans le giron d’Oracle, Qemu est open source et virtualise le micro-processeur. Couplé à KVM, ses possibilités de virtualisation sont grandes (notamment en matière d’accélération).

OpenBSD est réputé en terme de sécurité. J’ai donc décidé de l’installer avec Qemu et Ubuntu comme système hôte.

La procédure d’installation d’OpenBSD est relativement simple (cliquez ici) puisque les choix par défaut facilitent celle-ci.

Il faut tout d’abord installer QEMU, via la logithèque d’Ubuntu.

Ensuite, télécharger la version bêta d’OpenBSD ici. Ce fichier ISO (cd52.iso) correspond à un CD bootable depuis le CD-ROM. Avant de lancer l’ISO, il faut créer une image disque « dynamique » sur lequel on installera OpenBSD via la commande :

$ qemu-img create -f qcow2 openbsd.img 8G

La spécification dynamique adapte la taille du disque dur dans la limite indiquée (ici, 8 Gigaoctets).

Ensuite, on démarre la machine virtuelle à partir de l’ISO :

$ kvm -hda openbsd.img -cdrom cd52.iso -boot d -m 512

L’option -cdrom est suivie de l’image iso puis l’option -m indique la quantité de mémoire vive (ici, 512  Mégaoctets).

Une fois l’installation terminée, on lance la machine (sans booter sur l’ISO) par :

$ kvm -hda openbsd.img -m 512 -usb

N’étant pas spécialiste de Qemu, ces lignes de commande sont perfectibles mais suffisent à faire fonctionner le système OpenBSD.

Et pour le fun, je vous montre comment installer KDE lorsque vous êtes loggé comme root sous openBSD :

$ pkg_add kdebase kdelibs kdeaddons kdeadmin kdeartwork kdeedu kdegames kdegraphics kdemultimedia kdenetwork kdepim kdesdk kdetoys kdeutils kdeaccessibility

Je vous conseille d’installer KDE via un CDROM, car l’installation via pkg_add m’a pris 3 heures 30 (environ).

Pour « sortir » le pointeur de la souris de la fenêtre Qemu, utilisez la combinaison de touches Ctrl+Alt.

Documentation Ubuntu sur Qemu (fr)

Site officiel d’openBSD (fr)

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Ubuntu 12.04 LTS « The Precise Pangolin » est disponible depuis le 26 avril 2012


Et oui, j’ai 1 mois de retard par rapport à la sortie de la dernière version d’Ubuntu mais je ne pouvais pas ne pas en parler. J’ai donc effectué une mise à jour automatique de mon système Ubuntu 11.10 vers la version 12.04 via le gestionnaire de mise à jour. Partons à la découverte de cette nouvelle version…

Ubuntu 12.04 est Long Time Support (LTS cliquez ici) c’est-à-dire maintenue pendant 5 ans jusqu’en 2017 ou en d’autres termes, elle bénéficiera de correctifs de sécurité pendant cette période dans le cas où l’utilisateur/administrateur ne souhaite pas faire évoluer son système vers la nouvelle version.

« The Precise Pangolin », un petit mammifère insectivore, voit Unity, son environnement de bureau, évoluer vers davantage d’ergonomie pour l’utilisateur cliquez ici.

GNOME Shell n’est pas installé par défaut mais peut être rajouté dans la logithèque Ubuntu. Il existe également des dérivés d’Ubuntu :

  • Kubuntu : il intègre l’environnement de bureau KDE
  • Xubuntu : il intègre l’environnement de bureau Xfce
  • Ubuntu server ou serveur
  • Edubuntu consacré à l’éducation
  • etc.

Archive du blog : Ubuntu 11.04

Archive du blog : Xubuntu 11.04

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Xubuntu, Linux for human beings


Xubuntu est la version d’Ubuntu utilisant l’environnement de bureau XFCE conçu pour les ordinateurs dotées de faibles ressources matérielles.

Sortie dans sa version 11.04, je viens de la tester avec une machine disposant de peu de ressources ; jugez plutôt : 256 Mo de Ram et 12 Mo de mémoire vidéo.

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Ubuntu 11.04 est disponible


Ca y est ! Ubuntu 10.04 « The Natty Narwhal » est disponible au téléchargement.

La grande nouveauté est l’adoption de Unity, un bureau qui était utilisé par la version d’Ubuntu destinée aux netbooks. Désormais, Unity remplace Gnome.

Il reste toutefois possible d’installer Gnome Shell ou Gnome 3, en ajoutant ce dépôt ppa:gnome3-team/gnome3 dans le gestionnaire de paquet Synaptic ; il s’agit d’une version encore expérimentale.

Notons également que LibreOffice remplace OpenOffice.

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Site officiel de Gnome 3

Documentation francophone Ubuntu

Joli OS 1.2, le test


Voici une distribution linux basée sur Ubuntu dont l’originalité est de fonctionner sur des P.C. peu puissants, grâce à une connexion internet et à la technologie du cloud computing.

Vous trouverez ci-dessous des captures d’écran de Joli OS prises à partir d’une machine virtuelle de l’installation à l’utilisation.

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C’est décidé, j’installe Linux !


C’est décidé, j’installe Linux ! Vous vous êtes toujours demandé ce qu’était Linux et après l’avoir essayé grâce à un CD/DVD Live (Knoppix etc.) sans l’installer, vous avez donc décidé de l’installer.

L’installation n’est pas complexe, il suffit de comprendre ce que l’on fait, d’où ce tutoriel d’installation Linux.

Il faut tout d’abord de l’espace dur votre disque dur, mais vous pouvez également installer Linux sur clé USB ou sur un disque externe.

L’espace requis dépend de la distribution et il est supposé que vous ayez déjà Windows installé sur votre PC (portable ou autre).

L’installation se fera en dual-boot (« double démarrage ») pour qu’au démarrage de votre PC, vous puissiez choisir entre Linux et Windows une fois l’installation effectuée.

La première étape est de défragmenter votre disque dur sous Windows et de faire une sauvegarde de vos données personnelles (vous pouver utilisez Ubunutu Secured Remix pour sauvegarder le MBR http://doc.ubuntu-fr.org/ubuntu_secured_remix.)

Ensuite, après avoir télécharger une image iso de Linux, insérez votre CD/DVD puis redémarrez.

Au redémarrage, pas de Windows, c’est le CD/DVD qui est lancé. Vous arriverez sur une interface texte ou graphique. Ici, ce sera Ubuntu.

1ère étape : choix de la langue

2ème étape : la préparation de l’installation

3ème étape : allouer l’espace disque nécessaire

Pour le partitionnement, référez-vous à cette page : http://doc.ubuntu-fr.org/tutoriel/installer_ubuntu_avec_le_live_cd#etape_3_allouer_de_l_espace_disque

Voilà ! Il ne vous reste plus qu’à profiter d’Ubuntu !

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Image provenant de la Documentation Francophone d’Ubuntu de YannUbuntu et des contributeurs Adam0509, AlexandreP, Fabien26, YannUbuntu http://doc.ubuntu-fr.org/tutoriel/installer_ubuntu_avec_le_live_cd publié à l’origine sous la licence CC BY-SA v3.0