Kali Linux la distribution Linux orientée sécurité informatique

À la Une

Kali Linux se définit comme une plateforme dédiée à la sécurité informatique et pas uniquement à un ensemble d’outils et à un système d’exploitation.

Kali Linux is not about its tools, nor the operating system. Kali Linux is a platform.

Kali Linux est particulièrement destinée aux auditeurs de la sécurité des systèmes d’information.

Et bonne nouvelle, le site internet officiel de Kali Linux propose une version pré-installée pour VirtualBox. Lançons-nous (ou plutôt je me lance)…

en haut à droite, voici un accès à des images prêtes à l’emploi sur VirtualBox
parfait, je choisis… VirtualBox
démarrage de KALI Linux, c’est un peu austère et monochrome, j’avoue
utilisateur : kali mot de passe : kali –> non je ne l’ai pas inventé, ni hacké le mot de passe lol

Voici l’écran d’accueil :

accès direct au gestionnaire de taĉhes
la page d’accueil
installons MALTEGO
MALTEGO est un outil de collecte d’informations https://www.maltego.com/
WIRESHARK, un analyseur de paquets du réseau https://www.wireshark.org/

Kali Linux est donc un véritable couteau suisse de la sécurité informatique. La distribution Linux regorge d’applications d’après le lanceur d’applications :

Les différents logiciels sont regroupés en thématiques :

  • collecte d’informations (1),
  • analyse de vulnérabilités (2),
  • analyse d’applications Web (3)
  • outils de reporting (12)

N’étant ni un spécialiste de la sécurité informatique, et encore moins un utilisateur aguerri de tous ces logiciels, cet article, je l’espère, vous a permis de découvrir cette variante de Linux.

Le site officiel :

https://www.kali.org/

Elementary OS, la distribution Linux qui remplace Mac OS (et Windows)


Elementary OS est la distribution Linux qui se singularise avec son look à la Mac OS (MacIntosh Operating System). La distribution Elementary OS est basée sur la distribution Ubuntu.

C’est avec curiosité que j’aborde le test d’Elementary OS Horus grâce à la création d’un ordinateur virtuel et à l’aide du logiciel VirtualBox.

Je lance donc l’installation de VirtualBox par l’intermédiaire du gestionnaire de paquets appelé Synaptic :

sélectionnons donc le paquet « VirtualBox » et ses dépendances logicielles nécessaires à son fonctionnement
sautons le pas, lançons l’installation
l’installation suit son cours
vous trouvez l’installation un peu trop longue ? voici un avant-goût d’Elementary OS depuis son site internet officiel
ça y est, VirtualBox est installé et lancé. Observez notre pingouin qui bricole
créons maintenant notre PC virtuel en mode « Expert »
la machine virtuelle est démarrée
configuration de la langue
configuration rapide du clavier
je l’essaye en mode de démonstration
l’écran du bureau de Elementary OS, ouahhh, c’est joli !
mon blog sur Elementary OS, ça en jette ! 🙂

Et voilà ! Pour en savoir plus, rendez-vous sur le site internet officiel de Elementary OS [FR] :

https://elementary.io/fr/

Linux Mint, la (re)découverte


le bureau de Linux Mint (plutôt le mien) après l’installation

Afin de relancer mon utilisation de Linux, j’ai opté pour Linux Mint qui est une variante de Ubuntu, cette dernière étant basée sur Debian.

L’installation de Linux Mint a été rapide, environ 30 minutes. J’ai alors lancé sur mon tout nouveau système la logithèque.

Instants de nostalgie, j’ai retrouvé Google Earth. Même si le produit de Google est disponible via un navigateur internet, j’ai tout de même lancé l’application.

Google Eart sur le net
La planète bleue depuis chez moi par l’application Google Earth (un peu comme Thomas Pesquet depuis l’ISS 🙃) !

Et pour ajouter un peu plus de fun à mon écran d’accueil qu’est mon bureau, j’ai modifié l’arrière-plan de celui-ci en piochant dans les images disponibles.

c’est beau 😎 !

Une autre surprise de la logithèque, c’est Visual Studio Code, dont j’avais vaguement entendu parlé arriver sur Linux, ce devait être au mois de juin de cette année 2023.

Voici quelques images du nouveau système (révolutionnaire, non ?)

un terminal ouvert sur le bureau
le navigateur de fichiers
le menu principal de Linux Mint

J’espère dans le futur (proche) tester sur Linux Mint de nouvelles découvertes qui pourront (un jour ?) être publiées sur mon blog (quel suspens… 🙂 ) .

Post-Scriptum PS : l’intelligence artificielle s’est invitée sur WordPress avec la génération de commentaires sur le ton de l’article, lors de sa pré-publication… Mais c’est vérifié, ce n’est pas une machine qui a écrit cet article !

Tester Linux sur le Web


De nombreux (anciens) articles revenaient sur les versions « Live », afin de tester le système d’exploitation Linux sur son ordinateur, à partir d’un CD par exemple.

Je viens de découvrir via cet article d’autres façons d’essayer Linux, via son navigateur internet.

Testons tout ça…

Le 1er site testé est http://bellard.org/jslinux/ où sont émulés divers systèmes d’exploitation, sur plusieurs types de processeur :

Je vais m’attarder sur ce site pour cet article…

Je me suis naturellement tourné vers Fedora, qui plus est avec un environnement graphique.

L’interface d’arrivée est un peu minimaliste pour le Geek qui sommeille en moi :

Le menu accessible via un clic-droit présente plusieurs possibilités.

Définissons notre clavier en « French » (français NdT)

Ajoutons un clavier virtuel (un qwerty, pour le fun!) :

Une commande de terminal « top » est directement accessible pour visualiser les processus en cours :

Cela fait un bout de temps que je ne me suis pas remis à Linux, on peut voir le PID (identifiant du processus), l’utilisateur (user) et le % de processeur (%CPU) et de mémoire (%MEM) qu’il utilise.

J’ai tenté d’utiliser l’environnement de bureau GNOME, mais je n’ai pas réussi :

Et je relance l’interface graphique :

Bonne nouvelle, un navigateur Web, « Dillo », est inclus :

Je n’arrive pas encore à me connecter à Internet (via mon navigateur web??) mais ce n’est qu’un début.

Bref, cet article montre une autre façon d’essayer Linux, avec ses limites, mais c’est quand même une grande avancée que de le faire sur le Web.

Et pour le fun et comme je ne suis pas rancunier, voici Windows 2000 (mais où est le bug de l’an 2000?) :

Oh là là, Windows 2000 me fait des siennes, je n’arrive pas à me connecter à internet !

Mais où est donc passé le SAV de Windows 2000 ????

Revenons à nos moutons et à Linux, ce site permet aussi d’essayer des distributions Linux. Exemple avec Ubuntu :

Cerise sur le gâteau, cet article me permet aussi de faire revivre mon blog 😉

L’écosystème Linux, un frein pour son développement ?


On peut se demander si la multitude de distributions linux (entendez les différentes variantes de linux) ne constitue pas un frein à son développement.

En effet, il existe diverses distributions, et on peut s’interroger sur la pertinence du choix de la distribution à installer sur son ordinateur.

Pour exemple, j’ai déjà installé depuis 1999, sur mes ordinateurs personnels, les distributions SUSE, Fedora (sponsorisée par Red Hat), Debian (et sa dérivée Ubuntu), Mandriva, Mageia, Linux Mint, Emmabuntüs, OpenSUSE etc. Le point commun de ces distributions, c’est bien sûr le noyau (kernel en anglais) qui permet de servir d’interface entre le matériel et les logiciels.

Une des particularités de Linux, c’est le système de fenêtres graphiques, aussi appelé environnement de bureau pour simplifier.

Parmi ces derniers, on notera les plus emblématiques, Gnome et KDE…

KDE

Gnome

…mais aussi des plus ou moins connus, comme les environnements de bureau plus légers et plus rapides (LXDE, XFCE) etc.

XFCE

LXDE

Encore, les logiciels installés « par défaut » peuvent être similaires ou non d’une distribution à l’autre.

Mais, et c’est tout l’intérêt de la grande variété de distributions Linux (et l’intérêt de cet article 😉 ), chaque distribution a ses spécificités qui renforcent leur attrait.

Ainsi, Ubuntu est une distribution « grand public », facile à utiliser,…

…et dispose de nombreuses variantes comme Ubuntu Studio [destiné
à la création multimédia]…

Fedora, distribution plutôt orientée développeurs, et Emmabuntüs a pour objectif le recyclage de « vieux » ordinateurs.

Emmabuntüs

L’écosystème Linux et sa diversité n’est donc pas, et je le pense réellement, un frein à son développement. Il s’agit en réalité d’une richesse car chaque utilisateur choisira sa distribution en fonction de ses besoins, de ses goûts.

Il n’aurait pu exister qu’une unique distribution linux, permettant peut-être de gagner des parts de marché sur Windows, mais la diversité des distributions renforce l’attrait pour Linux (ouah… c’est beau 🙂 ).

P.S. : Microsoft et son système d’exploitation ne considèrent plus Linux comme un ennemi mais comme une source de perspectives. Ainsi, Windows 10 intègre le Windows Subsystem Linux (sous-système Linux pour Microsoft), qui permet d’utiliser linux sur Windows, et ce qui est étonnant au regard de la doctrine précédente anti-linux.

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Sélection de sites internet


Cela fait maintenant plusieurs années que je rédige pour mon blog, et je vous propose donc dans cet article une sélection de sites internet qui m’ont guidé dans mes pérégrinations informatiques.

Ces sites, plus ou moins connus, m’ont réellement aidé dans l’apprentissage de l’informatique, aussi je vous conseille de les visiter si, comme moi, votre curiosité en informatique vous fait progresser.

Le site developpez.com est LA référence en matière de site Web dédié à l’informatique. Destiné aux débutants, avec ses cours et tutoriels pour « beginners », ou aux utilisateurs confirmés, ce site dispose d’un menu riche.

Pêle-mêle, vous aurez entre autres accès à des livres de différents formats, à un forum, à des actualités ; les thématiques situées dans l’en-tête de la page d’accueil permettent de cibler votre lecture : Développement Web, Programmation, Système de Gestion de Base de Données (SGBD), Environnements de Développement Intégré (EDI) etc.

Bref, vous y trouverez une mine d’information pour découvrir de nouveaux sujets.

Plus grand public, Comment Ca Marche (CCM), est comme Developpez.com, un site internet qui existe depuis plusieurs années, tous deux lancés en 1999 ! CCM compile bon nombre d’articles pour découvrir l’informatique ; on connaît aussi CCM pour sa librairie, puisque l’éditeur Dunod publie dans la collection commentcamarche.net plusieurs livres accessibles pour tous :

Outre son forum, on connaît aussi CCM pour son encyclopédie informatique, qui était il y a 10 ans intégralement téléchargeable :

On retrouve aussi sur le site internet de CCM un site dédié aux codes sources de programmes informatiques, dans différents langages :

Lancé en 1998, LinuxFr.org d’après la page Wikipedia consacrée à Linuxfr est un

site francophone communautaire traitant de l’actualité informatique liée le plus souvent au logiciel libre fondé le 28 juin 1998. Il est alimenté par sa communauté d’utilisateurs de manière contributive.

Composé dépêches, linuxfr permet de se tenir au courant de tout ce qui gravite autour de Linux et de l’Open-Source en général. C’est donc une mine d’informations importante.

Ancien « site du zéro », ce dernier a évolué vers un site dédié à des formations en informatique.

Des ouvrages sont aussi publié dans la collection OpenClassrooms aux éditions Eyrolles :

 

Les cours sont conçus de manière riche (vidéos, visibilité de la progression etc.) pour rendre intéressant également la matière informatique.

Un blog complète le site internet :

 

J’ai découvert GNU Linux Magazine France en 1999 soit un an après sa création.

Référence incontournable sur Linux et l’Open-Source, ce magazine diffuse de nombreuses thématiques technologiques innovantes (Intelligence Artificielle, Administration Système etc.).

D’autres revues gravitent autour de GNU Linux Magazine France :

GNU Linux Pratique Essentiel ; plus grand public ;

MISC ; sur la sécurité informatique ;

Hackable Magazine ; sur la domotique, l’électronique (Raspberry Pi etc.) ;

Et tout une série de Hors-Série, véritables guides de référence.

Voilà, l’article est maintenant terminé ; j’espère qu’il vous aura intéressé, tout comme les nombreuses sources d’informations !

Nouvel environnement Linux openSUSE Leaf 42.3


 

Avec la mise en place de ce blog sur un serveur tierce, et afin de tester des nouveautés technologiques, j’ai installé un nouvel environnement Linux avec la distribution openSUSE Leaf 42.3.

openSUSE ne m’est pas inconnue car il s’agit de la 1ère distribution installée fin 1999 sur mon ordinateur personnel, alors à la version Suse 6.2 (openSUSE sur Wikipedia).

J’avais déjà consacré un article à l’installation de Linux en mode EFI (qui remplace le BIOS) Installation d’Ubuntu 13.10 en mode UEFI – Retour d’expérience

en 2013 avec la distribution Ubuntu.

L’installation d’openSUSE a évolué car je ne me suis pas soucié de l’EFI/UEFI puisque le gestionnaire d’installation YaST [Yet another Setup Tool] de cette distribution s’en charge. L’installation devient classique avec le choix du partitionnement du disque dur et les différentes étapes de l’installation.

Le gestionnaire d’amorçage GRUB2 est installé automatiquement et permet ainsi à l’allumage du PC de choisir le système d’exploitation à lancer (Linux ou Windows) en cas d’installation en « dual-boot » lorsque plusieurs systèmes d’exploitations co-existent.

opensuse.fr

opensuse.org

 

 

 

Linux Mint 16 « Petra », vous avez dit Linux ?


Après un article sur un retour d’expérience concernant l »installation de notre (mon) système d’exploitation favori (Installation d’Ubuntu 13.10 en mode UEFI – Retour d’expérience) aux cotés d’un autre système, et ce en s’accommodant  de la technologie UEFI-EFI, voici donc un nouvel article portant sur Linux.

Et oui, je reprends un peu de mon temps pour me consacrer à faire vivre la rubrique Linux de mon blog et vous faire (re)découvrir le système d’exploitation au pingouin.

Je tiens à vous rassurer : le système Linux installé sur mon ordinateur portable fonctionne toujours et je ne vois pas de raison pour laquelle il ne fonctionnerait pas…

La distribution Linux Mint a pour devise, ou slogan, « from freedom came elegance« , que je traduis laborieusement par « de la liberté vint l’élégance ». Effectivement, la finition graphique de la distribution est aboutie comme en témoigne les différents environnements de bureaux qui accompagnent la distribution. Linux Mint est en effet disponible avec les environnements de bureaux KDE (un « classique »), MATE (continuité de l’environnement GNOME 2), Cinnamon etc.

Linux Mint est une distribution dérivée de la distribution Ubuntu. Mais, assez parlé, voici en images la distribution présentée avec le bureau MATE et le bureau Cinnamon… Pour info, j’ai virtualisé un ordinateur sur lequel je fais fonctionner Linux Mint :

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Installation d’Ubuntu 13.10 en mode UEFI – Retour d’expérience


Ca y est, enfin ! Avec l’acquisition d’un nouvel ordinateur portable et le système d’exploitation Fenêtres 8 (tentative de traduction laborieuse, je dois dire, d’un Operating System [OS] ou Système d’Exploitation) pré-installé dessus, se posait la question de l’installation de Linux, le système d’exploitation dont la mascotte est un pingouin (dit Tux).

En effet, depuis l’arrivée de Fenêtres 8, le BIOS a été remplacé par l’UEFI. Derrière ces termes qui peuvent paraître barbares, se cache en réalité 2 pierres angulaires de votre ordinateur préféré.

Pour les définitions du BIOS et de l’UEFI, je vous renvoie au site « CommentCaMarche.net », l’objectif de l’article étant de détailler plutôt les problématiques de l’installation de Linux sur un PC portable équipé de l’UEFI.

Revenons à nos moutons… L’UEFI a pour objectif affiché de sécuriser votre PC au détriment d’OS différents. En effet, à la sortie de l’UEFI, l’inquiétude envahit la communauté Linux pour l’installation de celui-ci en dual boot (comprenez en choisissant Linux ou Fenêtres 8 au démarrage du PC).

Mais c’est sans compter sur la persévérance de la communauté linux car la Fondation Linux lance, début 2013, un bootloader ou chargeur au démarrage qui permettra à des distributions indépendantes de venir s’installer auprès de Fenêtres 8 (article du Monde Informatique 12/02/2013).

Déjà, des distributions avaient anticipé le bin’s que pouvait engendrer l’arrivée de l’UEFI. Ce bin’s est détourné par la distribution Suse mi 2012 avec l’annonce d’une parade (SUSE and Secure Boot: The Details) , ou par Fedora (Guide UEFI Secure Boot).

Mon choix s’orientant vers la distribution Ubuntu, je décide alors de l’installer en dual-boot, aux côtés de Fenêtres 8. Pour cela, nul besoin de désactiver le Secure Boot, bien au contraire, l’installation d’Ubuntu 13.10 a été effectuée en mode UEFI (Ordinateurs avec UEFI).

Pour résumer, voici les différentes étapes qui m’ont guidées :

– gravage de l’image de la distribution,

– accès à UEFI via la touche F10,

– désactivation du Secure Boot (démarrage sécurisé) et activation de la « maintenance »

– ordre de priorité  du démarrage sur le lecteur de CD-Rom pour les 2 modes (mode UEFI et mode « Maintenance »).

– Sauvegarde puis redémarrage du PC avec le CD-ROM

– Appui sur la touche F9 qui permet de sélectionner son démarrage ; s’ensuit alors plusieurs options dont « CD-ROM en mode UEFI »  (qu’il faut sélectionner).

– Ensuite, installation classique : redimensionnement de la partition Windows etc.

Par contre, une fois l’installation terminée, il faut démarrer le PC et appuyer sur la touche F9 pour accéder au menu et sélectionner ensuite « Ubuntu » pour accéder à GRUB. Notons que la partition de restauration de Fenêtres 8 a été conservée.

ATTENTION : référez-vous à cet article qui détaille très bien l’installation d’Ubuntu en mode EFI.

Cette installation s’est effectuée sur un PC Portable Notebook Hewlett-Packard HP de la gamme ENVY DV7.

Restent à configuer le « Beats Audio » et la 2ème carte graphique NVIDIA installée sur le PC.

Mageia 3, La distribution communautaire


Dans  un article précédent, publié le 20 août 2011 très exactement cliquer ici, je consacrais celui-ci à Mageia, alors dans la version n°1. Une version n°2 apparut en mai 2012, et, depuis le même mois mais en 2013, la version n°3 est disponible au téléchargement.

C’est ainsi que dans élan de gentillesse incontrôlé, j’ai choisi de vous montrer (quoi, encore ?!)  l’installation, oui, j’ai bien dit l’installation de Mageia avec un environnement de bureau LXDE (LXDE sur la documentation francophone Ubuntu).

Aaarghhhh… et oui, encore une fois, j’ai failli m’étouffer puisque l’UEFI était voué à faire disparaître les distributions Linux, mais la solution réside dans The Linux Foundation qui a trouvé la parade (la parade par Le Monde Informatique) pour bouter l’UEFI hors des terres du pingouin, pingouin qui ne demande qu’à s’épanouir sur les bécanes (entendez PC pour Personal Computer) récentes.

Pour continuer l’aparté dédié à l’actu Linux (c’est une nouveauté du blog, être au plus proche de l’actu avec quelques mois de retard), Valve qui a décidé de se rapprocher de Linux, lance en 2014 SteamOS (SteamOS par Clubic), un système d’exploitation dédié au jeu (vidéo).

Bon revenons à nos moutons, et découvrons donc Mageia (ouah…).

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Fedora 19, « Schrödinger’s cat »


Pour faire revivre l’expérience linux de ce blog, j’ai choisi de vous présenter la dernière distribution Fedora, 19ème du nom, dans sa version « live », c’est-à-dire dans une version vous permettant d’essayer la distribution sans l’installer (tout en gardant la possibilité de l’installer ensuite).

Le chat de Schrödinger, une expérience de pensée créée en 1935 par Erwin Schrödinger, est présenté ici avec l’environnement de bureau GNOME 3 (avec une « barre des tâches » en haut, à distinguer de l’environnement de bureau KDE, qui, lui, intègre une « barre des tâches » en bas de l’écran).

Un des intérêts de GNOME 3 est de rendre la navigation entre les applications plus interactive et ce en pointant sa souris en haut à gauche de l’écran, et ce faisant, en accédant à une barre de menu latérale, et obtenir ainsi un accès facile aux applications et autres fonctionnalités en tout genre.

Ceci vous rappellera peut-être un système d’exploitation grand public ;-), mais faut-il rappeler que cette ergonomie existe pour linux depuis quelques années, et donc linux a une longueur d’avance, comme d’habitude !

Par ailleurs, en sélectionnant la solution de virtualisation VMWare, petite nouveauté, le résultat est plutôt satisfaisant.

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Firefox OS, pour améliorer la navigation avec son smartphone


Vous connaissez forcément Firefox, le navigateur internet qui vous permet de surfer sur le net, mais connaissez-vous Firefox OS (en même temps, une partie de la réponse à cette question se situe dans le titre) ?

Firefox OS, d’après la page Wikipedia dans la langue de Shakespeare, est un système d’exploitation open source basé sur Linux pour les smartphones (téléphones intelligents) et les tablettes, avec des applications développées en HTML5 (etc.)

La page officielle de l’OS insiste davantage sur l’aspect adaptatif du téléphone équipé de Firefox OS, et propose aussi un « marketplace », où vous pourrez vous procurer des applications.

Pour voir à quoi ressemblait Firefox OS, j’ai utilisé « Firefox OS Simulator », un add-on qui est aussi un environnement de test pour les applications développées pour l’OS au renard.

Voici donc en images Firefox OS, avec notamment les pages officielles du site (lui-même officiel).

Add-on de Firefox OS

Firefox OS, le site officiel

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Debian 7 « Wheezy » est sortie !


L’attente était à son paroxysme pour la sortie de cette nouvelle mouture puisque Debian 6 alias « Squeeze » a été publiée en février 2011. C’est donc avec joie et bonne humeur qu’est accueillie cette bonne nouvelle.

Debian, la présentation

  • L’objectif premier de Debian est l’universalité car le système Linux vise à être utilisé tant pour les serveurs, que les stations de travail professionnelles ou personnelles, superordinateurs, pocket-pc etc.
  • Debian est issue d’une communauté (non pas une communauté hippie),
  • Le projet Debian fut lancé le 16 août 1993 avec Debian 0.01,
  • Debian donne naissance à plusieurs distributions dérivées : Ubuntu, Knoppix etc.

Les Nouveautés

Parmi les nouveautés que nous réserve cette version 7, on retrouve :

  • la prise en charge multiarchitecture : désormais, il sera possible d’installer des logiciels 64- et 32-bits sur la même machine,
  • la prise en charge de l’installation et de l’amorçage sur UEFI pour les PC 64 bits récents (amd64), malgré la non prise en charge de l’amorceur sécurisé (« secure boot »),
  • l’amélioration du système d’installation, notamment disponible en 73 langues
  • Côté « softwares » : le serveur http Apache 2.2.22, l’environnement de bureau Gnome 3.4, Nagios 3.4.1 etc.
  • L’intégration d’un noyau 3.2.

Debian, l’Installation

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Debian, le système, en images

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Debian, le site officiel [fr]

OpenSuse, de retour dans la version 12.3


Le 12 mars dernier est lancée la distribution au « gecko », OpenSuse. C’est donc l’occasion de lui consacrer un article, après plusieurs articles dédiés à cette « distro » :

OpenSuse 12.2, présentation, installation, tutoriel

OpenSuse 11.4 Gnome Desktop LiveCD

L’installation réalisée dans cet article intègre l’environnement de bureau Gnome 3.6 et supporte l’UEFI.

Pour consulter la liste des nouveautés/caractéristiques, vous pourrez vous rendre sur cette page.

Pour le reste, je vous propose de visionner les différentes captures d’écran suivantes, de l’installation au lancement et à l’utilisation du système:

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Installer Android 4.2 sur sa tablette virtuelle, c’est possible


Effectivement, après de nombreux articles sur les systèmes d’exploitation Linux, il en est un ressemblant à Linux, puisqu’il utilise son noyau… c’est Android, le système d’exploitation open source développé pour les appareils nomades  (smartphones, tablettes etc.) et qui n’avait pas jusqu’ici fait l’objet d’articles.

Réparation est faite puisque grâce aux logiciels de virtualisation, il est possible de tester l’installation. J’ai donc télécharger une image iso sur le site android-x86.org pour ensuite l’installer avec VirtualBox. J’ai tenté l’installation avec Qemu mais je n’ai pas réussi à lancer le système une fois l’installation terminée (et oui, ce sont des choses qui arrivent) du fait d’un message d’erreur.

Vous pourrez tenter l’installation avec VirtualBox si ça vous dit, avant de l’installer sur votre matériel.

Dans cette présentation et tutoriel d’installation d’Android 4.2 (alias « Jelly Bean »), vous verrez dans les 1ers écrans qu’il est possible de tester Android sans l’installer. D’autre part, l’installation ressemble à une installation Linux : partitionnement etc.

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Knoppix 7, la distribution « live » !


Et oui, il est possible de tester Linux sans l’installer. Et cette possibilité est offerte par une distribution « historique » , Knoppix, du nom de son créateur Klaus Knopper.

Après un 1er article sur Knoppix 6 Adriane (archive du blog),   il est bon de rappeler quelques fondamentaux…

Knoppix est basée sur une distribution Debian stable (Debian Squeeze), et intègre l’environnement de bureau (peu gourmand en ressources, faut-il le rappeler ?) LXDE. On retrouve également la suite bureautique LibreOffice, le navigateur internet Iceweasel et GNU Image Manipulation Program (GIMP).

Si vous souhaitez donc essayer une distribution, sans l’installer, vous trouverez en Knoppix LA distribution idéale !

knoppix-fr.org

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Fedora 18, nom de code « Spherical Cow », Secure Boot et Installation


A l’instant où j’écris cet article, Fedora 18 « Spherical Cow » est disponible au téléchargement depuis le 15 janvier 2013. Pourquoi « Spherical Cow me direz-vous ? Eh bien selon Wikipedia (en anglais dans le texte cliquez ici) et dans une tentative de traduction assez laborieuse je dois l’avouer, les 2 termes désignent une métaphore pour les modèles scientifiques hautement simplifiés des phénomènes complexes de la vie réelle (« spherical cows » sur le site de la NASA [en]).

Autres éléments de vocabulaire propres à Fedora, Anaconda désigne le nom du programme d’installation de la distribution sponsorisée par Red Hat (pour la distribution OpenSuse, ce programme s’appelle Yast etc.) qui a été reconçu afin de pallier aux carences de l’ancienne version.

Côté « logiciel », Fedora 18 intègre un noyau 3.6 et l’UEFI Secure Boot (UEFI sur Wikipedia [fr]) qui permet de faire cohabiter notamment Fedora 18 avec d’autres systèmes d’exploitation. Fedora 18 intègre également l’environnement de bureau par défaut Gnome 3.6 mais il existe des « Spins » de Fedora mettant à disposition du Linuxien que vous êtes d’autres environnements de bureau (Archive du blog : Les « Spins » de Fedora).

Archive du blog : Fedora 15 « Lovelock »

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OpenSuse 12.2, présentation, installation, tutoriel


Il est des fois où je m’imagine  encore utiliser en 1999 ma 1ère distribution Linux : il s’agissait de la Suse 6.2, sortie en août 1999, et que j’eus achetée dans une revue chez mon libraire préféré. A l’époque (et oui, on peut parler d’une époque révolue), la Suse 6.2 intégrait un noyau 2.2.10, l’environnement de bureau KDE 1.1.1 ou encore The Gimp 1.1.7. Actuellement, ces « softwares » sont à leur version respective 3.7.1, 4.9.1 et 2.8. Depuis ce temps, que d’évolutions !

Suse le 4 novembre 2003 est ainsi rachetée par Novell, une société U.S., puis en 2011 suite à un rachat de Novell, Suse est devenue une entreprise indépendante. Il fut loin le temps où l’on trouvait en rayon chez une grande enseigne de distribution des boîtes Suse destinées au grand public. Cependant, dès 2005, le projet Opensuse sponsorisé par Novell commença et rassembla une communauté.

Il est donc temps de découvrir la distribution au caméléon, le geeko, et ce en images…

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Petite revue d’Ubuntu 12.10 « The Quantal Quetzal », disponible depuis le 18 octobre 2012


Aujourd’hui, c’est mon anniversaire ! Et pour mes 31 ans, je me suis offert une mise à jour de mon système Linux Ubuntu 12.04 vers 12.10. Ce cadeau, que je me suis fait, est pour ainsi dire gratuit puisque les distributions Linux sont libres et gratuites !

Assez parlé, faisons donc une petite revue des nouveautés issues de la sortie de cette nouvelle version…

Les  principales nouveautés d’Ubuntu 12.10, sont :

  • l’intégration d’application Web (les « web apps ») cliquez ici,
  • l’intégration de comptes en lignes (tels Facebook et Google),
  • la prévisualisation du contenu dans le tableau de bord via le clic-droit du « dash », le tableau de bord d’Unity (l’interface utilisateur d’Ubuntu),
  • un cryptage de la partition d’Ubuntu rendu plus facile,
  • l’unification d’Unity abvec la disparition d’Unity 2D au profit d’Unity 3D,
  • le support du « secure boot » introduit par la nouvelle version de Windows (Windows 8),
  • les dernières mises à jour de vos logiciels favoris.

Cette version sera, au contraire de la précédente, maintenue pour seulement 18 mois.

Les nouveautés de Ubuntu 12.10 (LinuxFr.org)

8 New Features in Ubuntu 12.10, Quantal Quetzal (en)

La Documentation Ubuntu (fr)

Mise à jour d’Ubuntu 12.04 à 12.10 (en)

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Le Top 10 des bonnes raisons de passer à Linux…


Faire un blog sur Linux, c’est bien, passer à Linux, c’est encore mieux. Voici donc le Top Ten des bonnes raisons de passer à Linux :

  1. Linux est gratuit : pas besoin d’acheter une licence, de télécharger illégalement le système d’exploitation,
  2. Linux est disponible en une multitude de distributions : OpenSuse, Fedora, Ubuntu, Mageia etc. développées par des communautés à travers le monde. Vous trouverez une distribution qui correspond à vos attentes selon l’utilisation que vous avez de votre ordinateur,
  3. Linux utilise des logiciels open source comme lui et sont gratuits : les softwares par défaut de Linux sont variés et complets (LibreOffice, la suite bureautique, The Gimp pour la retouche photo etc.),
  4. Linux facilite l’installation de logiciels : les « logithèques » des distributions sont fournies de logiciels divers et variés ; il suffit de taper un mot-clé dans le moteur de recherche de la logithèque pour découvrir et installer de nouveaux logiciels gratuitement et en toute légalité,
  5. Linux dispose d’environnements de bureaux multiples : KDE, GNOME Shell, Xfce, LXDE etc.,
  6. Linux peut être testé via un LiveCd, c’est-à-dire un Cd lancé lors du démarrage de l’ordinateur,
  7. Linux a 21 ans et est devenu un système d’exploitation en avance sur les autres systèmes d’exploitation,
  8. Linux est pourvu de mécanismes de sécurité avancés (SELinux, AppArmo etc.)
  9. La littérature sur Linux est riche : livres, magazines, sites Web etc.
  10. Linux peut cohabiter avec d’autres systèmes d’exploitation