« Docteur Sleep », le dernier roman de Stephen King


Pour alimenter la rubrique « Livres » de mon blog, j’ai décidé de vous présenter le dernier roman de Stephen King, sorti déjà en octobre 2013, « Docteur Sleep », que je traduis, en mettant en oeuvre toutes mes connaissances en anglais acquises précédemment, par « Docteur Sommeil ».

Je consacrai dans un article précédent ce même article à « 22/11/1963 », sorti il y a tout juste 1 an (« 22/11/1963″, une plongée dans l’Amérique de Kennedy) . Avant de vous présenter « Docteur Sleep », voici mon avis, ma critique sur 22/11/1963. Cette critique n’engage que moi et je ne souhaite ainsi pas vous influencer sur la lecture de ce roman.

A grand coup de tapage médiatique, « 22/11/1963 » s’avère un livre que se laisse lire facilement. Savant cocktail de roman historique (sur l’assassinat de Kennedy, entre autres), roman policier (comment Jake Epping va-t-il tenter d’empêcher l’assassinat de Kennedy ?), roman relatant l’histoire entre Jake Epping et une femme dont l’ex est complètement cinglé, roman de science-fiction lorsque le héros cité, et narrateur de surcroît, va remonter le temps pour accéder à l’Amérique post-2nde guerre mondiale.

Le livre tient ainsi en haleine jusqu’à la fin, que je ne dévoilerai pas, bien entendu. Toutefois, j’ai été déçu par la forme que prenait cette fin et je n’ai donc pas lu les 10 dernières pages (peut être vais-je les lire lorsque j’aurai plus de courage).

Mais revenons à nos moutons, ou plutôt à « Docteur Sleep »…

Stephen King est venu présenter ce dernier livre en France à l’occasion d’un véritable show à l’américaine au Grand Rex (Le show à l’américaine de Stephen King au Grand Rex par lemonde.fr).

Annoncé comme la suite de Shining, Docteur Sleep met au centre de l’histoire le jeune Danny Torrance devenu adulte. En aparté, Shining avait fait l’objet d’une adaptation cinématographique par Stanley Kubrick.

Bande-annonce VF de Shining :

http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=18782021&cfilm=863.html

J’ai donc entamé les 1ères pages de « Docteur Sleep », et, premier changement par rapport à « 22/11/1963 », le héros principal n’est pas le narrateur.

Je ne vous en dis pas plus, seulement que le fantastique prend davantage le dessus dans ce livre que dans 22/11/1963.

Articles dédiés à « Docteur Sleep »:

Docteur Sleep par Télérama